Grippe aviaire : l'OMS à Silêmanî
Une délégation de l'OMS est aujourd'hui et pour 3 jours à Silêmanî.
"Nous sommes venus, à la demande des ministères irakien et kurde, pour étudier les moyens mis en oeuvre pour enrayer le risque de pandémie et apporter notre soutien aux efforts déployés par le gouvernement local. ... Nous tenons à rendre hommage à l'attitude du gouvernement local et des autorités irakiennes. Ils font preuve de transparence totale et traitent avec sérieux les cas confirmés et suspects". a déclaréNaïma Hassan al-Kassir, chef de la délégation et représentante de l'OMS pour le Proche-Orient.
La délégation doit aussi se rendre au village de Sarkabkane, dans la région de Rania, qui a vu le premier décès de grippe aviaire dans le pays.
L'OMS devrait envoyer des experts, des équipements de laboratoires et des laborantins pour former les gens sur place, des stages de formation". Un laboratoire pourrait être construit à Silêmanî, financé par l'UE.
Selon un autre expert de l'OMS, Denis Coulombier, responsable du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, des envois suffisants de médicaments parviendront quand ils auront évaluer les besoins locaux. (source AFP)
"Nous sommes venus, à la demande des ministères irakien et kurde, pour étudier les moyens mis en oeuvre pour enrayer le risque de pandémie et apporter notre soutien aux efforts déployés par le gouvernement local. ... Nous tenons à rendre hommage à l'attitude du gouvernement local et des autorités irakiennes. Ils font preuve de transparence totale et traitent avec sérieux les cas confirmés et suspects". a déclaréNaïma Hassan al-Kassir, chef de la délégation et représentante de l'OMS pour le Proche-Orient.
La délégation doit aussi se rendre au village de Sarkabkane, dans la région de Rania, qui a vu le premier décès de grippe aviaire dans le pays.
L'OMS devrait envoyer des experts, des équipements de laboratoires et des laborantins pour former les gens sur place, des stages de formation". Un laboratoire pourrait être construit à Silêmanî, financé par l'UE.
Selon un autre expert de l'OMS, Denis Coulombier, responsable du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, des envois suffisants de médicaments parviendront quand ils auront évaluer les besoins locaux. (source AFP)
<< Home