Kurdistan d'Irak : un camp spécial pour les fugitifs du PKK
Le Gouvervement régional du Kurdistan a décidé de regrouper les anciens membres du PKK ayant fui ce parti dans un camp spécial près de Dohuk. Le porte-parole du président Massoud Barzani a expliqué que le statut de ces ex-membres du PKK devait être clarifié et contrôlé jusqu'à ce que leur cas soit réglé après des négociations entre la Turquie, les USA et l'Irak. Environ 2300 personnes s'y trouveraient.
Le PKK n'est pas un parti qui accepte volontiers la "démission" ou la "dissidence" de la aprt de ses ex-membres. La plupart de ceux qui ont fui ont quitté clandestinement les rangs de la guerilla ou des bureaux politiques, et certains opposants sont toujours sur la liste noire du PKK.
D'un autre côté, une amnestie de la Turquie envers les membres les moins importants régleraient peut-être le statut de milliers de guerilleros qui ne peuvent retourner chez eux,dans la peur des représailles à la fois de leur propre parti et des Turcs.
(source Zaman.com).
Le PKK n'est pas un parti qui accepte volontiers la "démission" ou la "dissidence" de la aprt de ses ex-membres. La plupart de ceux qui ont fui ont quitté clandestinement les rangs de la guerilla ou des bureaux politiques, et certains opposants sont toujours sur la liste noire du PKK.
D'un autre côté, une amnestie de la Turquie envers les membres les moins importants régleraient peut-être le statut de milliers de guerilleros qui ne peuvent retourner chez eux,dans la peur des représailles à la fois de leur propre parti et des Turcs.
(source Zaman.com).
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