Encore un cessez-le-feu
Il y a environ deux mois, le PKK, enfin la branche belliqueuse, avait annoncé la rupture du cessez-le-feu, à vrai dire ça n'avait pas mis l'Anatolie à feu et à sang, mais bon.
Il est certain que le peuple kurde utilisera son droit à la résistance démocratique et à une légitime défense active pour se protéger et protéger son honneur vis-à-vis de l'accroissement des opérations de destruction de l'Etat turc", a affirmé la principale organisation indépendantiste kurde, le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) dans un communiqué.(DIHA-AFP).
Parler d'honneur en ayant Öcalan à sa tête, il y a de quoi s'étouffer de rire, autant que s'ils parlaient de "constance politique". En effet, ils reprochent maitenant à l'UE de " ne pas avoir pris en compte le sort des Kurdes, en autorisant mardi l'engagement de négociations d'adhésion avec la Turquie." Alors que précisément, ils disaient le contraire fin septembre, puisqu'ils avaient décidé faire une trêve jusqu'au 3 octobre pour ne pas parasiter les négociations entre la Turquie et l'UE. Et puis là, finalement non, ils viennent de s'apercevoir que : "L'absence de toute mention du problème kurde dans le document définissant le cadre de négociation, ou d'un simple mot sur la poursuite d'une guerre de faible intensité, revient à endosser la politique de déni de l'Etat turc". Et alors le ton se fait (presque) menaçant, en disant que maintenant, si la Turquie rentre dans l'UE, le problème kurde sera le problème de l'Europe. Tout à fait. Et d'un autre côté, si l'Europe se met à vouloir que les Kurdes aient des représentants élus démocratiquement et ne soient persécutés ni par le marteau ni par l'enclume, j'en connais que ça ne va pas contenter du tout.
Il est certain que le peuple kurde utilisera son droit à la résistance démocratique et à une légitime défense active pour se protéger et protéger son honneur vis-à-vis de l'accroissement des opérations de destruction de l'Etat turc", a affirmé la principale organisation indépendantiste kurde, le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) dans un communiqué.(DIHA-AFP).
Parler d'honneur en ayant Öcalan à sa tête, il y a de quoi s'étouffer de rire, autant que s'ils parlaient de "constance politique". En effet, ils reprochent maitenant à l'UE de " ne pas avoir pris en compte le sort des Kurdes, en autorisant mardi l'engagement de négociations d'adhésion avec la Turquie." Alors que précisément, ils disaient le contraire fin septembre, puisqu'ils avaient décidé faire une trêve jusqu'au 3 octobre pour ne pas parasiter les négociations entre la Turquie et l'UE. Et puis là, finalement non, ils viennent de s'apercevoir que : "L'absence de toute mention du problème kurde dans le document définissant le cadre de négociation, ou d'un simple mot sur la poursuite d'une guerre de faible intensité, revient à endosser la politique de déni de l'Etat turc". Et alors le ton se fait (presque) menaçant, en disant que maintenant, si la Turquie rentre dans l'UE, le problème kurde sera le problème de l'Europe. Tout à fait. Et d'un autre côté, si l'Europe se met à vouloir que les Kurdes aient des représentants élus démocratiquement et ne soient persécutés ni par le marteau ni par l'enclume, j'en connais que ça ne va pas contenter du tout.
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