PDK-Iran : Mehmûd Ehmedînejad est responsable du meurtre d'Ebdurehman Qasimlo
Le Parti démocrate du Kurdistan d'Iran, via son bureau à Paris, a déclaré le 27 juin 2005 que je nouveau président iranien Mehmûd Ehmedînejad avait été l'organisateur du meurtre du président du PDK-Iran, Ebdurehman Qasimlo, tué à Vienne en 1989 avec deux autres membres de ce parti, par les services iraniens.
Deux ans plus tard, en 1991, à Berlin, c'était son successeur au PDK Iran qui tombait sous les balles des tueurs iraniens. Il faut dire qu'à chaque fois, les leaders kurdes auraient pu éviter cela, en refusant de rencontrer de soi-disant "émissaires" iraniens pour "négocier"... Depuis la mort de Qasimlo, un leader assez charismatique et très bien vu en Europe, le PDK-Iran n'a plus d'ailleurs retrouvé l'audience qu'il avait eu en Occident, et son importance pèse peu sur la politique kurde en Iran, preuve que les mollahs ont toujours su frapper avec efficacité.
Le PDK-Îran demande donc à ce que le président iranien soit traduit devant la justice. Si l'on y ajoute les accusations que formulent contre lui les ex-otages américains, ça fait donc une sacrée ardoise contre le nouveau président, qui a renversé Rafsandjani, vu comme plus "modéré" en se présentant comme un islamiste pur et dur.
Cette victoire électorale est cependant à nuancer en rappelant que de larges provinces iraniennes, telles que le Kurdistan ou l'Azerbaydjan ont boycotté ce scrutin, amenant le taux d'abstention à un niveau très important.
source : nefel.com
Deux ans plus tard, en 1991, à Berlin, c'était son successeur au PDK Iran qui tombait sous les balles des tueurs iraniens. Il faut dire qu'à chaque fois, les leaders kurdes auraient pu éviter cela, en refusant de rencontrer de soi-disant "émissaires" iraniens pour "négocier"... Depuis la mort de Qasimlo, un leader assez charismatique et très bien vu en Europe, le PDK-Iran n'a plus d'ailleurs retrouvé l'audience qu'il avait eu en Occident, et son importance pèse peu sur la politique kurde en Iran, preuve que les mollahs ont toujours su frapper avec efficacité.
Le PDK-Îran demande donc à ce que le président iranien soit traduit devant la justice. Si l'on y ajoute les accusations que formulent contre lui les ex-otages américains, ça fait donc une sacrée ardoise contre le nouveau président, qui a renversé Rafsandjani, vu comme plus "modéré" en se présentant comme un islamiste pur et dur.
Cette victoire électorale est cependant à nuancer en rappelant que de larges provinces iraniennes, telles que le Kurdistan ou l'Azerbaydjan ont boycotté ce scrutin, amenant le taux d'abstention à un niveau très important.
source : nefel.com