Un Indo-Européen proche des Kurdes reposait près de Qin Chi Huan

Des archéologues chinois ont découvert les restes d'hommes "européens" qui travaillaient au mausolée chinois du premier Empereur. Des tests ADN fait sur ces restes, exhumés près du mausolée de Qingshihuang, au nord-ouest de la province de Shaanxiin. Ce mausolée date de 2200 ans.

Ces reste humains "allogènes" reposaient parmi 121 squelettes dans une tombe située à 500 mètres de la célèbre sépulture renfermant l'armée de terre cuite, avec hommes, armes et chevaux du premier empereur.

Cette découverte pourrait indiquer que des contacts entre l'Extrême-Orient et l'Asie centrale ont pu aovir lieu un siècle avant la période Han (206 avant JC - 220), a déclaté Duan Qingbo, le directeur des fouilles du Mausolée de Qinshihuang.

Les scientifiques ont collecté des fragments osseux de 50 dépouilles et ont analysé l'ADN de 15 d'entre eux. Leur âge allait de 15 à 55 ans environ.

"Nous avons trouvé qu'un échantillon avait des traits génétiques généralement associés avec les Parsis d'Inde et du Pakistan, les Kurdes du Turkmenistan et les Persans d'Iran," explique Tan Jingze, professeur au Centre d'anthropologie moderne de Shanghai.

Ce "travailleur étranger" comme l'appelle les chercheurs chinois était âgé d'une vingtaine d'année à sa mort, et ethniquement, était européen. Selon Tan, il a pu être capturé dans le nord, où les nomades circulaient et envoyé ensuite travailler à la cosntruction du mausolée. Le professeur Tan ajoute qu'ils ne peuvent être surs que d'autres étrangers aient été employé dans cette construction. Prélever davantage d'échantillons osseux est difficile, en raison du très mauvais état de la tombe abritant les squelettes.

(source : china.org.cn).

Un aéroport pour Duhok ?

Le gouverneur de Duhok, de retour d'Allemagne, a, dans une conférence de presse à Duhok annoncé qu'un aéroport serait construit dans le district, sans que l'emplacement en soit encore exactement choisi. (source avesta.com).

Pétition contre une lapidation

Une Kurde iranienne de 17 ans, Malak Ghorbany, a été condamnée à mort le 28 juin par le tribunal d'Ourmiah et doit être donc lapidée pour "adultère".

Les ayatollahs ont légiféré de façon raffinée sur le bon déroulement du'ne bonne lapidation dans les règles. La femme a les mains liées dans le dos, et est installée dans un trou que l'on comble avec des ordures. On tasse bien le tout, et tous les membres de la communauté sont invités à lui jeter des pierres jsuqu'à ce que mort s'ensuive. Là aussi, soucieux, dans leur rgande bonté, que les gens aient le temps de s'amuser et ne soient pas frustrés par une mort trop rapide, les ayatollahs ont précisé la taille des cailloux : ni trop petits des fois que la victime enr échappe, mais pas trop gros non plus afin qu'elle ne meurt pas trop vite.

Bref une pétition a été lancée en ligne, adressée aux Nations-Unies, à Amnesty International, aux ayatollah iraniens et à quelques autres organisations. Ce genre d'action avait réussi à sauver une autre femme, condamnée pour les mêmes motifs, il faut croire que les Ayatollahs n'aiment trop la publicité.

Commémoration du 2 juillet 1993

Sivas a rendu hommage aux 37 intellectuels et artistes alévis mort dans l'incendie de leur hôtel en 1993, alors qu'ils participaient à un festival culturel alévi, celui de Pir Sultan Abdal..

Ce jour-là, une foule d'extrémistes sunnites ont assiégé l'hôtel où ils étaient descendus, parceque l'écrivain et éditeur Aziz Nesin avait publié les Versets sataniques de Salman Rushdi en turc. Galvanisés probablement par quelques sermons du Vendredi, environs 160000 "fidèles en colère" ont marché sur l'hôtel en hurlant "Aziz diable""Sivas sera la tombe d'Aziz" et " les soldats ne doivent pas protéger les athées". Puis ils mirent à l'hôtel. Il fallut que les force s de sécurité tirent en l'air pour les faire détaler (apparemment ceux-là n'avaient de goût pour le martyre et préféraient donner la mort à la recevoir) et porter secours aux 150 personnes coincées à l'intérieur, qui tentaient de s'échapper comme ils pouvaient. 37 d'entre eux y restèrent.

Plusieurs personnalités politiques se sont exprimées à ce sujet et en ont profité pour régler leurs comptes. Ainsi le député CHP de Sivas, Nurettin Sözen a déclaré "Les gens de Sivas ne sont pas à blâmer pour ce qui est arrivé. Mais nous ne devons jamais oublier que ce crime a eu lieu à Sivas." Il a par contre accusé l'actuel gouvernement d'avoir "la même mentalité que ceux qui ont commis ce crime." Mais le chef des députés AKP, Akif Gülle a dit pour sa part qu'ils condamnaient une fois de plus ce qui s'était passé à Sivas, ajoutant que toutes ces années passées n'avaient pas réussi à apaiser la douleur qu'ils éprouvaient.

A Sivas, un nombre importants de personnes s'est rassemblé devant l'hôtel avec les photos des victimes, et ont lu leurs noms. Puis le président de l'association de la Culture de Pir Sultan Abdal a prononcé un discours en demandant que cet hôtel soit transformé en musée. (source Kurdish info).

Mauvais payeur...

Le gouvernement irakien a officiellement coupé l'électricité à la région du Kurdistan pour facture impayée, a annoncé le ministre de l'Electricité du Kurdistan. Actuellement l'électricité ne dépend plus que des barrages de Dukan et Darbandikhan.

Le ministre se veut rassurant en expliquant qu'il va régler le problème avec le gouvernement central et envoyé une délégation à Bagdad pour ça. Il ferait mieux de régler sa facture. (The Globe).